Vous connaissiez les digital natives, qui ont grandi avec des outils numériques entre les mains. Voici venus les sustainable natives ! Ces jeunes adultes ont compris que le développement de notre société ne pourra pas se faire sans prendre en compte la planète. Pour eux, l’acte d’achat est un acte citoyen et la responsabilité sociétale des entreprises sonne comme une évidence. Les attentes des sustainable natives et la RSE seraient-ils deux manières de dire une même réalité ? Voyons cela.
Nés dans les années 2000, les sustainable natives pourraient influencer profondément le monde du commerce. Comment ? En remettant en question l’attitude des générations précédentes face au défi environnemental, quand eux érigent la protection de l’environnement en principe directeur de leur vie. Une nouvelle approche qui déconstruit les schémas de pensée des dernières décennies. Particulièrement soucieuse de l’impact environnemental et social de ses achats, cette génération émergente de consommateurs se distingue en effet par une volonté de transformer ses habitudes pour contribuer à un monde plus équitable et respectueux de l’environnement. Ce sont eux les consom’acteurs de demain !
Boycott des marques qui ne respectent pas leurs valeurs, partage des opinions sur les réseaux sociaux, soutien actif des entreprises qui adoptent des pratiques durables sont autant de possibilités d’actions pour ces sustainable natives dont le pouvoir d’achat va croitre au fil des années. Et autant de moyens d’influencer les décisions commerciales pour inciter les points de vente à adopter des pratiques plus responsables tout au long de leur chaîne de valeur.
Selon le ministère de l’économie et des finances, la responsabilité sociétale des entreprises est « l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. »
Le rapport avec les sustainable natives est donc extrêmement simple : ces derniers attendent des entreprises la mise en place de choix de développement écoresponsables, qui peuvent correspondre à une stratégie RSE authentique. Ils veulent des engagements, mais surtout des actions !
Publiée par l’Organisation internationale de normalisation (ISO) en 2010, la norme ISO 26000 établit les lignes directrices relatives à la responsabilité sociétale des entreprises. Elle éclaire sur la manière dont les organisations peuvent contribuer de manière éthique et durable au développement durable et au bien-être de la société.
Contrairement à d’autres normes ISO qui sont certifiables, l’ISO 26000 est une norme volontaire qui vise à encourager les organisations à adopter des pratiques responsables sur la base de principes fondamentaux. Elle n’est pas contraignante, d’où l’importance pour les entreprises de la déployer de manière authentique, sans chercher à en faire un pur argument de communication qui ne serait pas fondé sur des actions réelles.
Voici les 7 questions au coeur d’une stratégie RSE :
Au fil des ans, le pouvoir d’achat des sustainable natives s’accroit. Et à l’heure où déployer une stratégie RSE devient incontournable pour toutes les enseignes, il est fondamental d’avoir en tête ces consommateurs en devenir. Sachant que la grande distribution représente la majorité des achats alimentaires des Français, c’est une opportunité à saisir pour renforcer sa position sur le marché. Car, nous en sommes persuadés, les attentes des sustainable natives et la RSE sont les deux faces d’une même pièce.
Chez Myrtille de Sologne, nous ne sommes peut-être pas sustainable natives, mais notre entreprise l’est ! Notre ADN est résolument écoresponsable, et le respect de l’environnement fait partie intégrante de notre éthique entrepreneuriale.
Voici comment nous répondons aux attentes des sustainable natives !
Myrtille de Sologne, c’est :
Et beaucoup d’autres sujets en développement car nous cherchons à nous améliorer jour après jour !
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